2021年6月10日

La figure 1 qui manque dans ma « Contribution d’un analyste lacanien au Japon » faite pour l’ouvrage collectif « Lacan au-delà des frontières » publié des Éditions Stilus


La figure 1 qui manque dans ma « Contribution d’un analyste lacanien au Japon » faite pour l’ouvrage collectif Lacan au-delà des frontières publié des Éditions Stilus




Je présente ici la figure 1 qui manque dans ma « Contribution d’un analyste lacanien au Japon » faite pour l’ouvrage collectif Lacan au-delà des frontières publié des Éditions Stilus. Elle n’est pas là parce que dans ce livre, pour la nécessité de ne pas augmenter son prix, on ne peut pas imprimer en couleur cette figure qui a quatre couleurs en fonction de la structure tétradique de l’ontologie apophatique.

La figure 1 est constituée des trois lignes. La première représente la dialectique du trou du sujet $ à partir du trou archéologique jusqu’au nœud de trèfle final en passant par la topologie de l’archirefoulement du trou $ et celle de son surgissement.

La troisième ligne représente ce que Lacan appelle progrès (cf. sa Radiophonie) : d'abord il y a le progrès du discours du maître dans celui de l'université, et puis le progrès du discours de l'université dans le discours de l'analyste.

La deuxième ligne représente les structures de l’aliénation et de la séparation. La structure de l’aliénation correspond à l’archirefoulement du trou du sujet $ et à la structure du discours de l'université, tandis que la structure de séparation correspond au surgissement du trou du sujet $ et à la structure du discours de l'analyste.

En ce qui concerne le discours du maître, le lecteur est invité à lire mon article : Quelques remarques sur la corrélation entre les quatre discours de Lacan et la théorie freudienne du développement libidinal.

La figure 1 dans son entier représente ces correspondances entre 1) la dialectique du trou du sujet $, 2) les structures topologiques que Lacan représente au moyen des deux cercles qui s'intersectent et se séparent et 3) les discours du maître, de l’université et de l’analyste.

Le nœud de trèfle, pour autant que Lacan le présente dans les trois dernières séances de son Séminaire XXV (1977-1978) Le moment de conclure, formalise l’amour-nodalité qui supplée au trou du non-rapport sexuel (cf. Le Séminaire XXII R.S.I.). Cet amour-nodalité est la reformulation de « l’amour-sublimation » qui seul « permet à la jouissance de condescendre au désir » pour autant que « l’amour est la sublimation du désir » (cf. la séance du 13 mars 1963 du Séminaire X L’angoisse).

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